Dossier du 16/02 : Les PSIG [EN RETARD]
Sam 18 Fév 2017 - 16:07
Les PSIG
DESCRIPTION
Les Pelotons de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie (PSIG) sont chargés de renforcer les brigades territoriales d'une compagnie pour faire face à des événements imprévus ou des situations particulières. Unités permanentes, ils ont aussi des missions propres, notamment en matière de surveillance générale.
Les premiers PSIG ont été créés en 1975, sous la forme de détachements d'intervention, pour répondre aux nouvelles conditions d'exécution du service de la gendarmerie - et en particulier au développement de la violence et de la délinquance. Cette création permettait de renforcer les moyens de la Gendarmerie nationale dans les compagnies où elle était le plus sollicitée et de développer sa capacité d'intervention tout en lui donnant plus de souplesse.
Les PSIG sont placés sous l'autorité du commandant de compagnie ; leur compétence s'étend sur l'ensemble de la circonscription de la compagnie à laquelle ils sont rattachés. On en compte aujourd'hui 227 (possibilité que le nombre varie).
MISSIONS
Dans un souci de prévention, le PSIG assure la surveillance de sa zone de compétence, notamment la nuit. La circulaire du 12 juillet 1990 relative à l'organisation et à l'emploi des PSIG énonce : " par sa présence, à des endroits judicieusement choisis, et sa mobilité, il contribue à l'amélioration de la sécurité et de la tranquillité publiques dans les zones considérées comme les plus sensibles. "
SELECTION
Il n'y a pas de tests spécifiques pour entrer en PSIG. Il est possible d'y entrer à la sortie d'une école de Gendarmerie (exceptionnel), ou en tant que gendarme de carrière en GM ou en GD à condition d'être particulièrement bon en sport et en IP (intervention professionnelle) et sous réserve qu'il y ait des places disponibles.
Les PSIG comportent de nombreux gendarmes-adjoints car ceux-ci ont reçu une formation physique en école souvent poussée.
DESCRIPTION
Les Pelotons de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie (PSIG) sont chargés de renforcer les brigades territoriales d'une compagnie pour faire face à des événements imprévus ou des situations particulières. Unités permanentes, ils ont aussi des missions propres, notamment en matière de surveillance générale.
Les premiers PSIG ont été créés en 1975, sous la forme de détachements d'intervention, pour répondre aux nouvelles conditions d'exécution du service de la gendarmerie - et en particulier au développement de la violence et de la délinquance. Cette création permettait de renforcer les moyens de la Gendarmerie nationale dans les compagnies où elle était le plus sollicitée et de développer sa capacité d'intervention tout en lui donnant plus de souplesse.
Les PSIG sont placés sous l'autorité du commandant de compagnie ; leur compétence s'étend sur l'ensemble de la circonscription de la compagnie à laquelle ils sont rattachés. On en compte aujourd'hui 227 (possibilité que le nombre varie).
MISSIONS
Dans un souci de prévention, le PSIG assure la surveillance de sa zone de compétence, notamment la nuit. La circulaire du 12 juillet 1990 relative à l'organisation et à l'emploi des PSIG énonce : " par sa présence, à des endroits judicieusement choisis, et sa mobilité, il contribue à l'amélioration de la sécurité et de la tranquillité publiques dans les zones considérées comme les plus sensibles. "
SELECTION
Il n'y a pas de tests spécifiques pour entrer en PSIG. Il est possible d'y entrer à la sortie d'une école de Gendarmerie (exceptionnel), ou en tant que gendarme de carrière en GM ou en GD à condition d'être particulièrement bon en sport et en IP (intervention professionnelle) et sous réserve qu'il y ait des places disponibles.
Les PSIG comportent de nombreux gendarmes-adjoints car ceux-ci ont reçu une formation physique en école souvent poussée.
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